Heavy Metal
Le magazine Heavy Metal est, à l’origine, la version américaine du périodique français Métal hurlant, que l’on ne présente plus. Au milieu des années 70 un éditeur du magazine humoristique américain National Lampoon est à Paris pour lancer l’édition française du dit magazine. Il tombe sous le charme d’un exemplaire de Métal Hurlant et le ramène aux Etats-Unis. L'année suivante, les Humanoïdes Associés vendront à la maison d'édition 21st Century Communications qui possédait le Lampoon, les droits américains sur leur revue. Voilà comment est sorti le premier numéro de Heavy Metal au début de l’année 1977.
Dès 1979, Heavy Metal abandonne son statut de simple traducteur de bandes dessinées françaises pour publier des auteurs et artistes américains. Un savant mélange de BD, de science-fiction, de fantasy et une touche d’érotisme fera son succès et permettra au magazine de devenir aux Etats-Unis un véritable fleuron novateur et original de la BD adulte. C’est d’ailleurs cette même année que sortira le 1er calendrier Heavy Metal, encore légèrement influencé par Métal Hurlant puisqu’on y trouve Druillet en novembre et Moebius en décembre.
Si Heavy Metal paraît toujours, quarante ans après son premier numéro, démontrant qu’il est une véritable institution outre-Atlantique, il a connu une période à vide de 1983 à 1992, année de son rachat. Sa formule est alors passée à trimestrielle et le magazine n’est plus tiré qu’à 40.000 exemplaires (200.000 à ses débuts). Heureusement pour le magazine la rentabilité n’est pas le plus important et si Heavy Metal appartient désormais à des passionnés, fidèle à ses origines la revue ose toujours s’aventurer en territoire inconnu.
Pour celles et ceux qui l’ignorent, sachez que The Internet Archive permet d’avoir accès à un peu moins de 100 numéros numérisés de Heavy Metal, du premier numéro en 1977 jusqu’au milieu des années 90. Ces numéros retracent une grande partie de l’histoire du magazine et son âge d’or, l’occasion de se replonger dans une autre époque.
Contrairement aux autres collections où l’habitude est à l’édition d’un calendrier par an, la maison d’édition Heavy Metal n’avait aucune raison, elle, de se limiter. Ainsi si on écarte les premières années, plusieurs calendriers d’artistes différents ont donc systématiquement été publiés annuellement et malheureusement, pas toujours avec une grande qualité.
Rappelons que le magazine Heavy Metal est principalement orienté BD adulte, il ne pouvait donc logiquement pas changer de cap pour ses calendriers et c’est donc la femme sous toutes ses formes, qui y est omniprésente.
Dès 1979, Heavy Metal abandonne son statut de simple traducteur de bandes dessinées françaises pour publier des auteurs et artistes américains. Un savant mélange de BD, de science-fiction, de fantasy et une touche d’érotisme fera son succès et permettra au magazine de devenir aux Etats-Unis un véritable fleuron novateur et original de la BD adulte. C’est d’ailleurs cette même année que sortira le 1er calendrier Heavy Metal, encore légèrement influencé par Métal Hurlant puisqu’on y trouve Druillet en novembre et Moebius en décembre.
Si Heavy Metal paraît toujours, quarante ans après son premier numéro, démontrant qu’il est une véritable institution outre-Atlantique, il a connu une période à vide de 1983 à 1992, année de son rachat. Sa formule est alors passée à trimestrielle et le magazine n’est plus tiré qu’à 40.000 exemplaires (200.000 à ses débuts). Heureusement pour le magazine la rentabilité n’est pas le plus important et si Heavy Metal appartient désormais à des passionnés, fidèle à ses origines la revue ose toujours s’aventurer en territoire inconnu.
Pour celles et ceux qui l’ignorent, sachez que The Internet Archive permet d’avoir accès à un peu moins de 100 numéros numérisés de Heavy Metal, du premier numéro en 1977 jusqu’au milieu des années 90. Ces numéros retracent une grande partie de l’histoire du magazine et son âge d’or, l’occasion de se replonger dans une autre époque.
Contrairement aux autres collections où l’habitude est à l’édition d’un calendrier par an, la maison d’édition Heavy Metal n’avait aucune raison, elle, de se limiter. Ainsi si on écarte les premières années, plusieurs calendriers d’artistes différents ont donc systématiquement été publiés annuellement et malheureusement, pas toujours avec une grande qualité.
Rappelons que le magazine Heavy Metal est principalement orienté BD adulte, il ne pouvait donc logiquement pas changer de cap pour ses calendriers et c’est donc la femme sous toutes ses formes, qui y est omniprésente.